En plein cœur de l’été, les granges sont solaires, à Vianney, on y emmagasine une telle quantité de lumière que le soleil palpite encore dans l’odeur du foin. Et c’est de vertige que se prend le fermier quand, au comble de la chaleur de midi, il monte sur les meules pour y humer cet air chargé de l’ivresse de l’été.
La société des poètes disparus
Il y a 6 ans
1 commentaire:
faudrais que je me tappe un été à planter des arbres une année. C'est parmis mes fantasmes :)
Enregistrer un commentaire